Humour, images et réflexions insolites



"La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri" - Chamfort


samedi 19 novembre 2011

révolution et oppression

"A vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes"
John Fitzgerald Kennedy, président (assassiné) des USA

(dessin copyright Hergé, trouvé sur internet via google)

vendredi 18 novembre 2011

grâce à l'euro, votre essence moins chère

car vous devrez en acheter moins longtemps...

jeudi 17 novembre 2011

le pyjama invisible

Une maman quinquagénaire rentre dans la chambre de sa dernière fille, grande ado, et la trouve nue. "Qu'est-ce que c'est que cette tenue?" lui demande-t'elle. "M'enfin, maman, c'est à la mode, c'est le nouveau pyjama invisible!"
Le petit ami sort de derrière la tenture, tout aussi nu, et déclare avec aplomb "oui, oui, c'est à la mode, ces nouveaux pyjamas invisibles"
Tirant la tête, la mère s'en va.
Au soir, son mari étant déjà alité, elle rentre dans sa propre chambre, arrivant nue de la salle de bains. Le mari lui demande "mais qu'est-ce qui t'arrive, enfin?"
La femme : "nouvelle mode, c'est le pyjama invisible"
Le mari : "Ben d'accord, mais tu aurais ptet pu le repasser!"

mercredi 16 novembre 2011

chirurgie ou cimetière?

Une femme s'entretient avec le chirurgien qui doit pratiquer une lourde opération sur son mari

- Docteur, combien cela va-t'il me coûter?

- 4.500 euros, madame, hors intervention de la mutuelle bien entendu

- Mais c'est exorbitant! Surtout quand je compare avec le devis des pompes funèbres!

mardi 15 novembre 2011

Plaidoyer pour un amour fumeux

- Messieurs les jurés, cette histoire est surtout un beau roman d'amour. Vingt ans tous les deux, brûlants l'un pour l'autre..

- Abrégez, maître, abrégez, dit le président. Et passez tout de suite aux coups de revolver!

lundi 14 novembre 2011

Tombe de l'illusion

"Les cimetières sont pleins de gens
qui se croyaient indispensables"

dimanche 13 novembre 2011

bonne médecine et bonne santé

Un médecin octogénaire félicité pour sa bonne santé était interrogé sur sa manière pour la conserver.

- Je vis du produit de mes ordonnances, sans prendre aucun des remèdes que j'y prescris!