samedi 29 septembre 2007
Pourquoi je ne vais jamais au bistrot
Christian D. nous envoie ce petit film qui nous fait comprendre pourquoi cette charmante demoiselle ne sera jamais son épouse..
vendredi 28 septembre 2007
Criss Angel, un illusioniste qui travaille au grand jour
impressionnant petit reportage envoyé par Gainsbarre
Les nymphes existent, Blettor en a vu une!
quoique connaissant Blettor qui m'a envoyé ceci, je pense qu'il préfèrerait un autre genre de nymphe, bref une qui ne reste pas de bois :-)
Ambulance africaine
jeudi 27 septembre 2007
Parlez-vous franglais?
source http://thaloe.free.fr/francais/franglais.jpg
Le franglais pratique
Vous avez beau vous appliquer, cela ne veut pas rentrer.
Impossible de manier la langue de Shakespeare !
Alors ne vous désespérez plus, avec des phrases françaises adaptées, vous arriverez à vous faire comprendre par les Grands-Bretons !
Etonnant, non ?
Comment dit-on en Franglais :
Français | Franglais | Anglais |
Parlez-vous anglais ? | Douille housse pic n'glisse ? | Do you speak english ? |
Etes-vous prêt ? | Ail ou radis ? | Are you ready ? |
L'addition | Débile | The bill |
Félicitations ! | Qu'on gratte tous les jeunes ! | Congratulations ! |
Passer un coup de fil personnel | Ma queue perd son alcool | Make a personal call |
Plus d'argent | Mors mon nez | More money |
Joyeux Noël | Marie qui se masse | Merry Christmas |
Nous sommes en retard | Oui Arlette | We are late |
Attirance sexuelle | C'est que ça pèle | Sex appeal |
Le dîner est prêt | Dix nourrices raidies | Dinner is ready |
Fabriqué en France | Mais dîne Frantz | Made in France |
J'ai fait un bon voyage | Ahmed a l'goût d'tripes | I made a good trip |
Le boucher | Deux bouts d'chair | The butcher |
Il parle Allemand | Il se pique Germaine | He speaks german |
Tu as sauvé toute ma famille ! | Youssef vole ma femme au lit ! | You saved all my family ! |
Asseyez-vous sur la chaise | Six tonnes de chair | Sit on the chair |
Le sel et le poivre | Sale teint de pépère | Salt and pepper |
Né pour perdre | Beaune - Toulouse | Born to loose |
Je cuisine | Ame coquine | I'm cooking |
Epicerie fine | Délicate et saine | Delicatessen |
Où est l'épicier ? | Varices de grosseur ? | Where is the grocer ? |
Donne-moi de l'argent ! | Guy vomit sous mon nez ! | Give-me some money ! |
Prendre le train | Toute ta queue traîne | To take a train |
Des verres sur la table | glaçone de thé beule | glasse on the table |
un envoi éducatif de Gainsbarre
Aah, l'amour conjugal, que c'est beau!
source http://img513.imageshack.us/img513/8334/bisous20lapin20schmecfr9.gif
Avant le mariage
Elle : Salut !
Lui : Ah, depuis le temps que j'attends ça !
Elle : Tu veux que je parte ?
Lui : NON. Je n'ose même pas y penser
Elle : Tu m'aimes ?
Lui : Bien sûr ! Enormément !
Elle : Tu m'as déjà trompée ?
Lui : NON ! Pourquoi demandes-tu ça ?
Elle : Tu veux m'embrasser ?
Lui : Chaque fois que j'en aurai l'occasion
Elle : Tu me battras un jour ?
Lui : Tu es folle ? Je ne suis pas comme ça !
Elle : Je peux te faire confiance ?
Lui : Oui
Elle : Chéri !
Après le mariage?
Lire le texte de bas en haut
on sent l'expérience dans cet envoi de Gainsbarre :-)
Piston ministériel, hiérarchie et compétences
source http://www.les4verites.com
Un riche industriel s'adresse à un ami ministre en ces termes :
- Mon fils me désespère. Il n'a pas terminé ses études, ne cherche même pas de travail, passe tout son temps à boire et à rigoler avec ses copains.
Ne pourrais-tu pas lui trouver un petit boulot dans Ton ministère ?
- Aucun problème, répond le ministre. Je le nommerai adjoint de mon chef de cabinet, avec un traitement de 6.900 euros par mois.
- Non, non. Ce n'est pas cela que je veux. Il faut qu'il comprenne qu'il faut travailler dans la vie et lui inculquer la valeur de l'argent.
- Ah ? Bon. Je le ferai chargé de mission en chef, à 5.500 euros par mois.
- Non, c'est encore trop. Il doit se rendre compte qu'il faut mériter son salaire.
- Euh.. chargé de mission alors ? 2.900 euros par mois ?
- Toujours trop. Ce qu'il lui faudrait, c'est une place de petit fonctionnaire, tout en bas de la hiérarchie, à moins de 1.200 par mois.
- Alors là hélas, je ne peux rien faire pour toi, répond l'ami Ministre.
- Mais pourquoi ?
- Pour ce genre de poste, il faut réussir un concours et avoir un diplôme.
Un envoi de ce gros pistonné de Gainsbarre
(hé, rendors-toi, je déconne! :-)
Viens poupoule, viens poupoule, viens...
Brésilienne, Portoricaine, Cubaine ou...???
Et pourtant, c'est du bio-gaz
- Docteur, j'ai un petit problème avec mes gaz... je dois pourtant dire que ça ne me dérange pas tant que ça. Ils ne sentent jamais et ils sont toujours silencieux.
Rien que pour dire, j'ai pété au moins dix fois depuis que je suis dans votre bureau, je suis certaine que vous ne vous en êtes jamais aperçu parce qu'ils sont silencieux et qu'ils ne sentent pas
- Je vois. Prenez ces pilules et revenez me voir la semaine prochaine.
La semaine suivante, la vieille revient.
- Je ne sais pas trop ce que vous m'avez donné, mes gaz restent silencieux, mais ils puent terriblement.
- Très bien, dit le docteur. Maintenant qu'on a réussi à dégager vos sinus, on va s'occuper de vos oreilles...
source
un envoi qui sent bon la campagne, merci Gainsbarre
Du croque-mort aux pompes funèbres (coquin)
Si rien ne se passait, la personne était déclarée morte.
C'est donc de là que vient l'appellation de "croque-mort".
Cette fonction de croque-mort, qui était en fait une vraie charge (comme les bourreaux) se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps.
Or, un jour, il arriva une catastrophe : le dernier croque-mort, bien qu'ayant eu de nombreux enfants, n'avait aucun garçon.
Sa fille aînée reprit donc sa charge, après réunion et avis favorable du conseil des sages et de l'Eglise.
Mais voilà, le premier mort qu'elle eut à traiter, était un homme décédé d'une grave maladie : la gangrène l'avait en partie gagné et on lui avait coupé les 2 jambes jusqu'à hauteur des cuisses.
La jeune fille examina la situation et mordit donc avec précaution le premier membre inférieur qu'elle put trouver.
Ce fut à cette époque, et très précisément dans ces circonstances, qu'on passa de l'expression "croque-mort" à celle de "pompe funèbre".
un envoi mortuaire de Gainsbarre
La voiture amphibie existe, mais n'essayez pas ça avec la vôtre..
un envoi de Gainsbarre, arrivé ici comme sur des roulettes
Usine : comment on range les oeufs dans leurs boîtes
Gainsbarre, qui sait faire des omelettes sans casser les oeufs, nous a envoyé ce film sans coquille
Boire ou conduire - bien conduire ou comme un malade (et c'est pas pour rire)
J'ai lu cette histoire et j'ai decidé de la partager avec toi...
Dans un magasin je me suis retrouvée dans l'allée des jouets. Du coin del'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans, qui tenait une jolie petite poupée contre lui.. Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Je me demandais à qui était destinée la poupée. Puis, le petit garçon se retourna vers la dame près de lui: "Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous?" La dame lui répondit avec un peu d'impatience: "tu sais que tu n'as pas assez de sous pour l'acheter." Puis sa tante lui demanda de rester là, et de l'attendre quelques minutes. Puis elle partit rapidement. Le petit garçon tenait toujours la poupée dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui, et lui ai demandé à qui il voulait donner la poupée. "C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour Noël. Elle était sûre que le Père Noël la lui apporterait." Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter. Il me répondit tristement: " Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve maintenant..." Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle la lui apporte." Il avait les yeux tellement tristes en disant cela. "Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur." Mon coeur s'est presque arrêté de battre.
Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit: "J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin." Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin, sur laquelle il tenait la poupée en me disant: "Je veux que maman apporte aussi cette photo avec elle, comme ça, elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerais qu'elle ne me quitte pas, mais papa dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur."Puis il baissa la tête et resta silencieux. Je fouilla dans mon sac à main, et j'en sorti une liasse de billets et je demanda au petit garçon: "Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs?"
"OK", dit-il, "Il faut que j'en ai assez." Je glissai mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter. Il y en avait amplement pour la poupée et même plus. Doucement, le petit garçon murmura: "Merci Jésus pour m'avoir donné assez de sous". Puis il me regarda et dit: "J'avais demandé à Jésus de s'arranger pour que j'ai assez de sous pour acheter cette poupée afin que ma maman puisse l'apporter à ma soeur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman, mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez, ma maman aime tellement les roses blanches..."
Quelques minutes plus tard, sa tante revint, et je m'éloignai en poussant mon panier. Je terminai mon magasinage dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je l'avais commencé. Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon.
Puis, je me suis rappelée un article paru dans le journal quelques jours auparavant, qui parlait d'un conducteur en état d'ivresse qui avait percuté une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille. La petite fille était morte sur le coup et la mère gravement blessée. La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur. Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon? Deux jours plus tard, je lu dans le journal que la jeune femme était morte. Je ne pu m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame. Elle était là, tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. J'ai quitté le salon en pleurant sentant que ma vie changerait pour toujours. L'amour que ce petit garçon
éprouvait pour sa maman et sa soeur était tellement grand, tellement incroyable. Et en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui a tout enlevé..."
source photos campagnes
Un envoi d'Olivier C.
mercredi 26 septembre 2007
Entraide nocturne
pleine nuit.
L'homme de la maison se lève et demande furieux :
- Qu'est-ce que tu veux ?
L'autre lui répond :
- Viens me pousser ! Il faut que tu viennes me pousser !
Excédé le propriétaire de la maison lui répond :
- Je ne te connais pas, et en plus il est 4 heures du matin, tu me réveilles pour me dire de te pousser et j'en ai pas envie, alors dégage d'ici et ne me déranges plus !
De retour dans la chambre, il se remet au lit mais sa femme qui a tout entendu le sermonne :
- Quand même tu exagères, cela t'est déjà arrivé d'être en panne la nuit,
tu aurais pu le pousser ce pauvre type.
- Ouais, mais il fait froid et en plus il est bourré !
- Raison de plus pour l'aider, il ne va pas y parvenir tout seul. Non ? Vraiment, je ne te reconnais pas, je suis très déçue de ton attitude.
Son mari, pris de remords, se rhabille et descend.
Il ouvre la porte et crie :
- Eh mec, c'est d'accord, je me suis habillé exprès pour venir te pousser. Tu es où ?
Et le gars bourré répond :
- Là, sur la balançoire !
Et c'est le copain Tiennou qui m'a balancée celle-là
Vous souffrez aussi d'arthrite?
Un individu chancelant, sentant mauvais et exhalant des odeurs de boisson s'assoit dans le bus à côté d'un prêtre. La cravate de l'homme est tachée, son visage est plein de traces de rouge à lèvre et une demie bouteille de gin sort de la poche de son pardessus froissé.
Il ouvre son journal et commence à lire. Quelques minutes passent et son regard se porte sur le curé à qui il demande:
- Mon père, pouvez-vous me dire ce qui cause la douleur et la souffrance occasionnées par l'arthrite?
L'abbé réplique :
- Ça, mon fils, c'est causé par une vie généralement dissolue, l'égoïsme, les femmes de petite vertus, trop d'alcool, le manque de charité, le couchaillage avec des putains, et (reniflant bruyamment) le manque d'hygiène personnelle.
L'ivrogne s'écrase sur son siège et grogne:
- Ben là, je comprends plus rien.
Et il se replonge dans son journal.
Le prêtre, se sentant un peu coupable de ce qu'il vient de dire, pousse l'homme du coude et s'excuse:
- Je suis sincèrement désolé, je ne pensais pas aussi durement ce que je vous ai dit. Ça fait longtemps que vous souffrez d'arthrite?
L'ivrogne répond:
- Moi? Jamais eu d'arthrite! Mais je venais de lire dans le journal que le Pape en souffrait.
un envoi médicalisé de Gainsbarre
WC : au Brésil, on sait rire avec des choses naturelles
il n'y avait pas anguille sous roche, mais anaconda sous la planche, dans cet envoi de Blettor
Entre une blonde en péril et le devoir conjugal, le héros n'hésite pas
nous dit Hugo T., et on comprend pourquoi il ne boit pas cette eau-là :-)
ONU - New York : la délégation iranienne forcée à manger des nouilles
un envoi culinaire de Blettor
lundi 24 septembre 2007
Pour vous entraîner à la conduite automobile avec l'hiver qui arrive
un envoi qui donne froid dans le dos, de la part d'Hugo T.